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Au site où se trouve l’église de Saint-Dimitrios, il y avait un monastère qui a été détruit par les ottomans et dont les moines, selon la tradition, se réfugièrent au monastère d’Apezanoi après avoir caché les précieux objets du culte dans des sites inaccessibles de la région.

La petite église byzantine à peintures murales de Saint-Dimitrios devait être le catholicon du monastère. Elle est également connue comme Saint-Dimitrios le « Galatoktistos ». En effet, selon la tradition, pour la construire on aurait utilisé du lait (‘gala’, en grec) au lieu d’eau.